Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

S.A.G.A. Sevenadur - Awen - Gwad - Adsav

Archives
18 juin 2007

QU’EST-CE QUE L’EMSAV?

QU’EST-CE QUE L’EMSAV ? Par Yann Bêr Tillenon

tillenon

L’Emsav, c’est le « Mouvement », en néo-breton. Le « mouvement », c’est ce qui a toujours caractérisé les Européens d’origine, peuple chasseur migrateur et, particulièrement dans sa branche de l’empire celtique. En fait, l’Emsav est né avec le mouvement historique des Celtes en Grande-Bretagne et non pas avec la  création du mot « Emsav » au début du 20e s. Les Bretons doivent leur nom à la racine « pred » (pensée). Ainsi fut nommée « Preden »  en « predeneg »  l’île de « Grande-Bretagne ». Le « predeneg » était la langue parlée par les « Predon » ses habitants, vraisemblablement de « grande pensée » puisque le « on » est un expansif comme dans « salon » ou « patron ». Cette racine « pred » à donné en néo-breton « preder » (philosophie). L’actuel éditeur « Preder » de Chateaulin, héritier légitime de l’Emsav historique, en porte logiquement le nom sans même l’avoir fait exprès, certainement.  Mais il n’y a pas de hasard!…

Nous avons donc toute raison de considérer que nos ancêtres étaient connus par les autres Européens, comme détenteurs d’une « pensée », d’une « Vérité », d’un enseignement ancestral particulier qui les désignait comme « penseurs » ou « philosophes ». Ceci, certainement grâce à leurs maîtres, les « druides » ou « true-wides » ( « vrais » ou « très » savants ). « Ar gwir, eneb ar bed » (Le Vrai, honneur du monde) était la devise des druides. C’est cet enseignement préchrétien que nous devons nous réapproprier. Ceci parce que nous devons  renouer avec notre identité, avec l’essence même de l’Emsav. Surtout aujourd’hui, pour des raisons pratiques, à  l’heure de la faillite du christianisme perverti et de la modernité qu’il a engendrée. Celle-ci, en fin de cycle, nous conduit à une convergence de catastrophes planétaire dans les années qui  viennent. Nous devons donc incarner immédiatement les valeurs et enseignements qui sont notre afin de proposer une nouvelle exemplarité, une alternative à la modernité  finissante, une société postmoderne, « archéo-futuriste ».

guerriers_celtes

L’Emsav n’est donc pas né au 20e siècle ni au 19e, et encore moins au 21e. Sa naissance remonte à l’Antiquité. Elle est toujours indissociable de l’idée d’action, de mouvement bâtisseur, créateur d’empire, d’une pensée, d’un nouvel ordre dans l’histoire. En «Petite-Bretagne »  continentale, l’Emsav-action est apparu en 383. Il est né avec le débarquement des Bretons en Armorique, province gauloise. Ils suivaient leur Général « Maxen » , devenu l’empereur « Maxime ». Il fut nommé ensuite « Maxen Wledig ». Ils voulaient rétablir l’ordre païen à Rome. L’empire romain décadent, malade, était en fin de cycle historique et envahit par les Chrétiens qu’il attirait. Ils l’ont achevé et établit un nouvel ordre, exactement comme l’empire français est aujourd’hui achevé. Il devient donc attirant pour un nouvel ordre, l’ordre islamique en France décadente et envahie par les Musulmans.
 
Nos ancêtres « brittons » ont échoué dans leur entreprise de sauvetage de l’ordre romain. Après 4 ans de règne, Maxen fut tué à Aquilée par Théodose, empereur chrétien d’Orient. Les guerriers, légionnaires brittons, toujours en mouvement, voulurent remonter en Grande-Bretagne, mais ils restèrent en Armorique. Pendant leur absence, les Angles et les Saxons de Germanie avaient pris le  pouvoir dans leur pays. Ils créèrent donc encore un nouvel ordre avec des petits États. Ils servirent de bases au futur État breton bretonnant puissant et souverain dans l’histoire jusqu’au 12e s. Ils furent ensuite trahis par la classe dominante, la noblesse qui commença à se franciser et à collaborer avec l’État français en revendiquant des miettes de pouvoir jusqu’à la perte totale de souveraineté avec la Révolution  Française. Nous retrouvons aujourd’hui le  même comportement baptisé le « mouvement breton ». C’est  une « animation » francisée, régionaliste ou nationaliste , de gauche ou de droite, qui proteste, « revendique » auprès de ses  maîtres parisiens. Ils ne sont pas dans l’histoire de l’Emsav, ils sont dans l’histoire de Bretagne, donc de France.

Le peuple bretonnant dominé, le peuple d’ouvriers, de paysans, de pêcheurs est, lui, resté « brezhon »  jusqu’au début du 20e s. Il a résisté jusqu’au 19e siècle à l’assimilation et a survécu dans une société traditionnelle, archaïque, mais « brezhon » tout de même, quand sa classe dirigeante francisée le trahissait au profit du pouvoir de L’État français. C’est pourquoi l’Emsav  moderne est issu au 19e s du peuple paysan bretonnant qui accédait aux études. C’est ainsi que ses combattants politiques, linguistiques ont assez rapidement compris qu’ils ne devaient rien attendre d’ une élite bretonne qui continuait à les trahir en collaborant avec l’État français. Ce qu’il manque donc au peuple c’est son État propre. Là est donc le but de l’Emsav : « Ar Stad vrezhon » , non pas évidemment, pour singer les États modernes actuels qui sont à l’origine de la décadence occidentale et planétaire, mais pour réactiver l’essence même de l’Emsav qui, depuis l’antiquité est l’expression de la philosophie indoeuropéenne celto-gréco-romaine. A savoir que l’homme individuel est un microcosmos, la reproduction du macrocosmos. Il est constitué 1) d’un corps dense, physique (matière et énergie), 2) d’un corps  subtil, psychique (émotionnel et rationnel), 3) d’un corps ethérique, métaphysique (intelligence, intuition, volonté). Collectivement cela doit se reproduire sous la forme de 1) Territoire, 2) Société, 3) État spirituel, donc philosophique, comme nous en retrouvons des explications dans Platon. L’Emsav eut au 19e s une vocation “régionale”, au 20e s, une vocation “nationale”. Il a aujourd’hui, au 21e s une vocation impériale, comme à son origine antique, après en avoir produit les nouvelles conditions linguistiques et philosophiques. Il retrouve son mythe fondateur, son principe constitutif.

legionnaire1

Romanisé, le breton devint un "britto-romain",

dernier et farouche défenseur de l'empire païen

L’Emsav est un  feu qui  couve sous terre, au-dessous de l’agitation futile de la société décadente en surface. Il réapparaît quand c’est nécessaire, comme un rhizome. C’est la vieille taupe bretonnante, c’est la volonté, la volonté impériale, comme il y a 1624ans. C’est le mythe fondateur de l’histoire de « Breizh » !...  Il réapparaît tout naturellement aujourd’hui avec le nouvel empire, la nouvelle  fédération européenne qui se bâtit. L’Emsav, c’est le  nouvel État bretonnant en re-évolution depuis 2 siècles qui pourra s’y fédérer.

Yann-Ber TILLENON.
Cape Sounion, sud d’Athènes 18 juin
1624

Publicité
8 juin 2007

Grèce et Emsav par Yann Bêr Tillenon

tillenon

Je viens ici tous les ans depuis 7 ans. Les Grecs restent très créatifs! Avec l’Europe qui se profile à l’horizon de l’histoire, ils doivent retrouver du sens à leur vie sociale ainsi que leurs mythes fondateurs!... Avec la fin de la  modernité et son “réchauffement de la planète”... C’est cela l’archéofuturisme qui doit être aussi celui de l’Emsav!...

Je viens de voir une expo d’art abstrait. C’était des coulures et des projections très violentes sur des grandes toiles comme des traces de sang et des cicatrices gigantesques après des coups de sabres ou d’éclats d’obus! Ceux qui font l’histoire ont toujours du sang sous les ongles!...

Acropole

La guerre quoi! Ce genre de travail fut un peu le mien dans les années 89 à 96. Ensuite je suis revenu au figuratif. Mais les “coulures”  et projections de peintures m’attirent toujours. Je les utilise encore de temps en temps. Ce travail est comme une sorte de “quête spirituelle”.

Tout ce qui bouge se rejoint dans ce qui est  inventif, en mouvement, donc dans l’Emsav!... C’est pour cela qu’il est un germe de nouvelle civilisation. C’est ce qui le différencie du “mouvement breton” qui reste faire partie de la civilisation française déliquescente. Cela exige parfois une force psychique surhumaine. Il faut se confronter, se battre à coups de “sabre-pinceau”  ou d’arguments rhétoriques ou physiques avec la surface vide de la toile qui devient l’ennemie à maîtriser comme l’adversaire politique à neutraliser...

futurisme

Il faut chercher à y projeter de l'ordre dans le désordre , du chaos dans le cosmos et du sens dans les taches ; qu’elles soient de peinture ou d’hémoglobine!... Le peintre, ou “Emsaver” se fait alors un “Théos” de la renaissance qui a besoin du “chaos” de la décadence... C’est  dialectique. C’est une démarche représentative de la crise existentielle de l'homme post-moderne!...

Cela reste une démarche violente et révolutionnaire qui n’est pas neutre, même politiquement! Elle emmerde les petits “bourges” conformistes, qu’ils soient riches ou pauvres. Ces éternels larbins de tous les pouvoirs en place veulent toujours protéger leur confort physique et psychique. Ils veulent « avoir la paix », comme ils disent… Ils sont donc « pacifistes », toujours prêts, comme en 40, à ouvrir leurs frontières et leur fion…

La peinture “guerrière” , dite “art brut” rappelle les extraordinaires motifs abstraits de l'art celtique ou de l’art “barbare”, européen ou africain, dit “premier” aujourd’hui, et non plus “primitif”... Cela permet de rassurer ces mêmes petits-bourgeois, collabos  dans leur confort, comme d’habitude. Ils ont besoin d’être tranquille, en accord avec l’idéologie officielle quelle qu’elle soit... Aujourd’hui c’est l’“antiracisme” des socialistes... Hier c’était leur ”antisémitisme” à Berlin et à Vichy!... Mais c’est toujours les mêmes imposteurs dans l’histoire politique ou artistique!...

assaut

La peinture n’est donc pas neutre... Elle a souvent été pour moi une compensation, une décharge d'émotions, comme celle de certains de nos compatriotes quand ils posent des pétards dans les préfectures... Elle m’a souvent permis d'exprimer mon univers intérieur, de libérer mes angoisses et ma rage sur le papier et la toile. Ce qui permet d’être moins négatif, de rester « vif et joyeux » avec de grands éclats de rire qui sont toujours meilleurs que les éclats d’obus!!!....

Ainsi, je me suis souvent  passionné pour l'art primitif avec ses expressions rageuses et impulsives qui s'accordaient autrefois à mon comportement..


Tu vois, je n’ai rien à cacher. J’ai 59 ans. Je suis un “autodidacte”. Depuis mon enfance dans le XIIIe et en banlieue sud, j’ai fréquenté des gens de toutes sortes, dans tous les milieux ethniques, politiques, théologiques, artistiques et scientifiques, de l’extrême gauche à l’extrême droite.

Je le revendique. C’est ce qui m’a formé, sur le terrain, philosophiquement, dans l’expérience, la pratique dans la rue et j’en suis fier. Je ne suis pas un “intellectuel” foireux des salons du quartier latin, un “Colla-bobo” qui fait de la philosophie spéculative de bureau... C’est ce qui fait la différence entre “apprendre” et “comprendre”... Mon oeil en moins et mes nombreuses cicatrices peuvent le prouver!...

Fraternellement,

Yann-Ber TILLENON.

6 juin 2007

Essai 8

Le manifeste du néoclassicisme
Le Serment des Horaces, l’œuvre, acclamée tant à Rome où elle fut réalisée qu’à Paris où elle fut exposée, devient le manifeste de la nouvelle école de peinture. Pourquoi ? L’intention de David est de restaurer la peinture. Les sujets galants et aimables qui ont envahi la peinture d’histoire sont pour lui une perversion de sa mission qui est d’instruire autant que de plaire. Pour remettre la peinture d’histoire dans la juste voie, il faut se remettre, comme les peintres du XVIIe siècle, à l’école de l’Antiquité. Pourquoi ce retour à l’Antiquité ? Si la peinture de genre se donne les attributs de la peinture d’histoire, c’est toute la peinture qui est détruite et c’est elle que David tente de sauver, ce qu’il ne réussira pas à faire. Le néoclassicisme des Horaces n’aboutira qu’à l’académisme.

6 juin 2007

Essai 7

Le manifeste du néoclassicisme
Le Serment des Horaces, l’œuvre, acclamée tant à Rome où elle fut réalisée qu’à Paris où elle fut exposée, devient le manifeste de la nouvelle école de peinture. Pourquoi ? L’intention de David est de restaurer la peinture. Les sujets galants et aimables qui ont envahi la peinture d’histoire sont pour lui une perversion de sa mission qui est d’instruire autant que de plaire. Pour remettre la peinture d’histoire dans la juste voie, il faut se remettre, comme les peintres du XVIIe siècle, à l’école de l’Antiquité. Pourquoi ce retour à l’Antiquité ? Si la peinture de genre se donne les attributs de la peinture d’histoire, c’est toute la peinture qui est détruite et c’est elle que David tente de sauver, ce qu’il ne réussira pas à faire. Le néoclassicisme des Horaces n’aboutira qu’à l’académisme.

6 juin 2007

Essai 6

Le manifeste du néoclassicisme
Le Serment des Horaces, l’œuvre, acclamée tant à Rome où elle fut réalisée qu’à Paris où elle fut exposée, devient le manifeste de la nouvelle école de peinture. Pourquoi ? L’intention de David est de restaurer la peinture. Les sujets galants et aimables qui ont envahi la peinture d’histoire sont pour lui une perversion de sa mission qui est d’instruire autant que de plaire. Pour remettre la peinture d’histoire dans la juste voie, il faut se remettre, comme les peintres du XVIIe siècle, à l’école de l’Antiquité. Pourquoi ce retour à l’Antiquité ? Si la peinture de genre se donne les attributs de la peinture d’histoire, c’est toute la peinture qui est détruite et c’est elle que David tente de sauver, ce qu’il ne réussira pas à faire. Le néoclassicisme des Horaces n’aboutira qu’à l’académisme.

Publicité
6 juin 2007

Essai 5

Le manifeste du néoclassicisme
Le Serment des Horaces, l’œuvre, acclamée tant à Rome où elle fut réalisée qu’à Paris où elle fut exposée, devient le manifeste de la nouvelle école de peinture. Pourquoi ? L’intention de David est de restaurer la peinture. Les sujets galants et aimables qui ont envahi la peinture d’histoire sont pour lui une perversion de sa mission qui est d’instruire autant que de plaire. Pour remettre la peinture d’histoire dans la juste voie, il faut se remettre, comme les peintres du XVIIe siècle, à l’école de l’Antiquité. Pourquoi ce retour à l’Antiquité ? Si la peinture de genre se donne les attributs de la peinture d’histoire, c’est toute la peinture qui est détruite et c’est elle que David tente de sauver, ce qu’il ne réussira pas à faire. Le néoclassicisme des Horaces n’aboutira qu’à l’académisme.

6 juin 2007

Essai 4

Le manifeste du néoclassicisme
Le Serment des Horaces, l’œuvre, acclamée tant à Rome où elle fut réalisée qu’à Paris où elle fut exposée, devient le manifeste de la nouvelle école de peinture. Pourquoi ? L’intention de David est de restaurer la peinture. Les sujets galants et aimables qui ont envahi la peinture d’histoire sont pour lui une perversion de sa mission qui est d’instruire autant que de plaire. Pour remettre la peinture d’histoire dans la juste voie, il faut se remettre, comme les peintres du XVIIe siècle, à l’école de l’Antiquité. Pourquoi ce retour à l’Antiquité ? Si la peinture de genre se donne les attributs de la peinture d’histoire, c’est toute la peinture qui est détruite et c’est elle que David tente de sauver, ce qu’il ne réussira pas à faire. Le néoclassicisme des Horaces n’aboutira qu’à l’académisme.

6 juin 2007

Essai 3

Le manifeste du néoclassicisme
Le Serment des Horaces, l’œuvre, acclamée tant à Rome où elle fut réalisée qu’à Paris où elle fut exposée, devient le manifeste de la nouvelle école de peinture. Pourquoi ? L’intention de David est de restaurer la peinture. Les sujets galants et aimables qui ont envahi la peinture d’histoire sont pour lui une perversion de sa mission qui est d’instruire autant que de plaire. Pour remettre la peinture d’histoire dans la juste voie, il faut se remettre, comme les peintres du XVIIe siècle, à l’école de l’Antiquité. Pourquoi ce retour à l’Antiquité ? Si la peinture de genre se donne les attributs de la peinture d’histoire, c’est toute la peinture qui est détruite et c’est elle que David tente de sauver, ce qu’il ne réussira pas à faire. Le néoclassicisme des Horaces n’aboutira qu’à l’académisme.

6 juin 2007

Essai 2

Le manifeste du néoclassicisme
Le Serment des Horaces, l’œuvre, acclamée tant à Rome où elle fut réalisée qu’à Paris où elle fut exposée, devient le manifeste de la nouvelle école de peinture. Pourquoi ? L’intention de David est de restaurer la peinture. Les sujets galants et aimables qui ont envahi la peinture d’histoire sont pour lui une perversion de sa mission qui est d’instruire autant que de plaire. Pour remettre la peinture d’histoire dans la juste voie, il faut se remettre, comme les peintres du XVIIe siècle, à l’école de l’Antiquité. Pourquoi ce retour à l’Antiquité ? Si la peinture de genre se donne les attributs de la peinture d’histoire, c’est toute la peinture qui est détruite et c’est elle que David tente de sauver, ce qu’il ne réussira pas à faire. Le néoclassicisme des Horaces n’aboutira qu’à l’académisme.

6 juin 2007

Essai 1

Le manifeste du néoclassicisme
Le Serment des Horaces, l’œuvre, acclamée tant à Rome où elle fut réalisée qu’à Paris où elle fut exposée, devient le manifeste de la nouvelle école de peinture. Pourquoi ? L’intention de David est de restaurer la peinture. Les sujets galants et aimables qui ont envahi la peinture d’histoire sont pour lui une perversion de sa mission qui est d’instruire autant que de plaire. Pour remettre la peinture d’histoire dans la juste voie, il faut se remettre, comme les peintres du XVIIe siècle, à l’école de l’Antiquité. Pourquoi ce retour à l’Antiquité ? Si la peinture de genre se donne les attributs de la peinture d’histoire, c’est toute la peinture qui est détruite et c’est elle que David tente de sauver, ce qu’il ne réussira pas à faire. Le néoclassicisme des Horaces n’aboutira qu’à l’académisme.

Publicité
1 2 > >>
S.A.G.A. Sevenadur - Awen - Gwad - Adsav
Publicité
S.A.G.A. Sevenadur - Awen - Gwad - Adsav
Publicité